Musée Le Prieuré à Salles-Arbuissonnas en Beaujolais
- Musée de salles-Arbuissonnas en Beaujolais
Fondé au Xe siècle, sous l’autorité de l’abbé de Cluny, Le Prieuré de Salles Arbuissonnas vous ouvre ses portes et vous invite à découvrir l’histoire privilégiée de ce petit village du Beaujolais.
Occupé dès le paléolithique, le site connait un véritable essor à l’arrivée des Bénédictines, élevées au XVIIIe siècle au rang de Chanoinesses Comtesses. Entre vie religieuse et vie laïque, ces femmes de la haute noblesse ont laissé une trace indiscutable sur le site, considéré aujourd’hui comme le joyau du Beaujolais.
A travers une exposition permanente, le Prieuré retrace les principaux faits qui ont marqué Salles Arbuissonnas tout en vous proposant d’apprécier la diversité des arts et des époques qui font la beauté du site.
Tarifs
- Tarif normal : 4,50€
- Tarif réduit (collégiens, lycéens, étudiants) : 3,50€
- Gratuité : enfant -12ans
- Tarif groupe : nous contacter
- Gratuit chaque 1er dimanche du mois
Horaires d’ouvertures
Nous vous informons que le musée du Prieuré rouvre peu à peu ses portes à partir du mercredi 3 juin 2020. Les horaires seront inchangés. Afin de vous accueillir dans les meilleurs conditions, le musée a mis en place des mesures provisoires : L’accès se fait en effectif limité, le port du masque est obligatoire pour tous les visiteurs dès l’âge de 11 ans. Enfin les paiements se font essentiellement par carte bancaire.
Le musée est ouvert du mercredi au dimanche de 10h à 12h30 et de 14h à 18h de avril à novembre inclus.
Contact
- Tél. : 04 74 07 31 94
- email : musee.leprieure@agglo-villefranche.fr
A lire
C’est principalement grâce à Eugène Méhu et Joseph Balloffet que le musée du prieuré est en mesure de vous offrir la trace de 11 siècles d’histoire. Pour retrouver les travaux de ces deux historiens du beaujolais :
- Ouvrages de Eugène Méhu
- Salles en Beaujolais (1910)
- Le manuscrit du vieux curé de Salles (1831)
- Ouvrages de Joseph Balloffet
- Salles-en-Beaujolais
- Madame de Ruffey dernière prieure de Salles et l’agonie du Chapitre
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