mardi 27 novembre 2018
à 17h21
- par Dominique MARTIN
Je suis de la même et si belle région Auvergne-Rhône-Alpes. J’ai participé pour la première fois de ma vie à une course organisée (13Km, dossard 14900). Bien organisée je me dois de le dire.
Bémol toutefois. J’ai juste regretté ce goût de plastique qu’avait cette course du Beaujolais tout au long du parcours.
GOBELETS PLASTIQUE RETROUVES ! AU DÉSESPOIR SUR PRATIQUEMENT TOUT LE PARCOURS... JE NE PARLE ÉVIDEMMENT PAS DE CE CHÂTEAU OU NOUS AVONS DÛ COURIR SUR SES GOBELETS TELLEMENT IL Y EN AVAIT AU SOL, VISION APOCALYPTIQUE (PROPIPETTE PRIVÉE SANS DOUTE ! JE NE FÉLICITE PAS LE PROPRIÉTAIRE). IL Y A DES ALTERNATIVES AU PLASTIQUE ... Ou des solutions pour éviter la dispersion de ses saloperies dans la nature. Honte aux organisateurs, mais que leurs importe cette nature qui nous donne tellement de plaisir à évoluer en son sein et qui nous fait vivre et profiter.
Ce genre d’épreuve (belle épreuve) devrait bien au contraire :
> Sensibiliser les foules au respect de chacun dans la préservation de notre environnement.
> Inciter des bénévoles à recueillir tous ces gobelets,
> Distribuer des gobelets en CARTON, j’ai connu ça (moins polluant).
> Demander de l’aide locale bénévole pour la collecte en temps réel des gobelets tout au long de l’itinéraire (Beaucoup de gens tendent les mains c’est super et touchant surtout quand ce sont les petits enfants, s’ils quelques uns tendaient des réceptacles pour inciter au respect de la propreté de leurs sites traversés, ce serai tellement top et porteur d’espoir.
Je ressors de cette jolie aventure un peut déprimé, découragé, moi qui dans ma campagne passe en footing derrière certains autres sportifs non scrupuleux, qui jettent également leur bouteilles de boisson énergisante (que je ramasse) dans le décor.
J’essaie de me convaincre, que ma remarque sera lue par ceux qui organisent, et qui ont le soucis du bien de tous.
>>> Pas de bénéfice autre que pécuniaire pour les marques et autres sponsors, sans une belle plénitude et cette joie de courir ensemble dans une nature que l’on sent préservée.
Merci à tous ces petits, parfois si petits dont j’ai touché la main sur mon passage. Ils m’ont donné le courage de continuer sans me révolter.
Je suis bien sur triste et indigné, mai je vous rassure ravi, d’avoir osé grâce à ma famille à franchir le pas de la course organisée, ne serai-ce que pour alerter... Soyons heureux de courir et de garder nos gobelets en plastique chez leur marchands.
Bien cordialement à tous, merci pour votre lecture. Respirer à plein poumons, c’est encore possible.
A notre santé (si je puis dire)
D.M.
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